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Outre un thème-fanfare aujourd’hui culte (et dont Ottman saura se souvenir pour ses X-Men), Mancini impressionnait surtout par ses climats de SF athématiques recherchés et savamment construits pour lesquels il donnait sans doute là la pleine mesure de sa science de l’écriture orchestrale. Le résultat est tout bonnement passionnant.
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Un thème superbe et une partition à l’avenant ! Le compositeur a décidément une sacrée force vitale… et musicale ! Lifeforce fait partie de ces œuvres que tout béophile sérieux se doit de posséder. Après, si vous avez déjà l’édition BSX de 2006, se pose évidemment la question de repasser à la caisse. A chacun de voir… mais perso, c’est non.
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Outre le thème d’ouverture époustouflant, Mancini a tissé sa « symphonie fantastique », une toile immense faite de mystère surnaturel, de mysticisme romantique, d’horreur gothique et cosmique. La progression est savamment graduée jusqu’au final grandiose. Une fascinante facette de l’œuvre de Mancini.
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Enfant, j’écoutais le 45 tours de La Panthère Rose. Ado, le 33 tours de Lifeforce. Williams avait rendu ses ailes symphoniques à la B.O., Mancini a saisi l’occasion pour livrer sa vision de Lovecraft, entre ombres gothiques et lyrisme cosmique. L’intégrale fascine avec ses langueurs et inédits, l’album original a la force de la concision : à vous le choix.
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Enième édition du chef d’œuvre de Mancini pour le délire de Tobe Hooper. Alors au creux de la vague, le génial compositeur créé une B.O. absolument somptueuse, que le film ne mérite pas… Heureusement qu’il y a la musique ! Et Mathilda ! On a furieusement l’impression, hors images, d’écouter la partition d’un énorme drame antique !
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