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Sans réelle surprise, Cabrera offre l’atmosphère néoclassique attendue pour orchestre de chambre au sens large du terme, évidemment dominé par le piano et les cordes. Mais il faut bien reconnaître que la partition est chaleureuse, séduisante et parfaitement dessinée pour mettre en valeur bois, timbales et autres sonorités additionnelles.
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Encore novice en musique pour l’image, le compositeur et violoncelliste italien a déjà une solide expérience pro. Pour cette série anglaise se passant dans l’Italie des années 20, il livre une musique portée par les instruments à cordes, qui souligne les tensions de l’époque et la légèreté de ce havre pour nantis. Une dolce vita aux sombres atours.
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Une partition typique de comédie dramatique en costume. On y trouve piano, cordes, harpe, vents et percussions légères, suggérant légèreté, sensibilité. Si le résultat ne manque pas d’allant, il y a truc, comme un rendu synthétique ou « automatique », qui m’a laissé de marbre.
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Voilà un score à l’ancienne qui charme instantanément l’oreille. Variée, dansante, dramatique, souvent alerte, la musique (pas toujours orchestrale) de ce violoncelliste de formation souligne avec classe le quotidien de personnages fortunés dans un hôtel pris dans la tourmente du fascisme Mussolinien. Une belle surprise.
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Riche de ses 35 pièces décorées avec élégance, ce luxueux hôtel d’entre-deux guerres vous offre des prestations d’un classicisme éprouvé, rehaussées d’une bienveillante modernité. Vous y séjournerez entre gens de bon goût, dans une ambiance relaxante. Des incursions de chemises noires sont cependant à craindre.
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La vie d’un hôtel Italien dans les années 20, très prisé par les Anglais, alors que le fascisme monte. Joli travail plein de soleil de ce compositeur italien (inconnu au bataillon pour ma part), ça virevolte, ça romance, le tout avec du goût et du style. Très agréable.
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