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182 minutes ! Non, ce n’est pas le temps qu’ont mis les deux compositeurs pour créer l’ensemble des musiques de cette série. En fait, c’est juste la durée de cet album… et de mon ennui. Quelques musiques/textures ne sont pas inintéressantes, mais pour le reste, c’est le vide estampillé 80’s. Et pourtant, la musique de cette décennie vaut bien mieux.
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Le travail électronique du duo reste toujours aussi efficace, même s’il pourra aussi agacer par son côté gimmick (réchauffé ?). La durée (3h) est ici un réel handicap pour moi, la trame dramatique me paraissant faire souvent du sur place. Et dommage de ne pas avoir les contributions de Rob Simonsen.
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J’avoue que malgré (ou peut-être à cause de) ses défauts, j’aime la série et j’aime le travail des deux bonshommes pour avoir su retranscrire auditivement une époque 80’s fortement marquée par les musiques synthés pour les films basés sur les œuvres de Stephen King. Du coup, là aussi j’aime mais c’est vrai que c’est un peu long à écouter…
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Vintage, eighties, Yamaha. Dans la pénombre, placez une lampe dans un placard, près de votre vieille Sega, du Casio VL-Tone et des LPs de Space et John Carpenter. Fermez les yeux, écoutez. Vous êtes jeune. Si, si ! L’effet s’estompe au fil d’une musique souvent utilitaire, mais bien menée. Si ce genre d’ambiance vous enchante, prenez un billet.
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