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Un score étonnant de la part de Jones, tout en retenue, même si on reconnaît son goût pour le lyrisme vocal. Assez prenant, très dépouillé, répétitif aussi, et assez monotone. Comme souvent avec ce genre de musique, selon le moment et l’humeur, on trouvera ça prenant ou ennuyeux.
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Super ! Trevor Jones est enfin de retour ! Euh… en fait, pas vraiment, car ce score date de 2018. Pour ce film d’horreur fantastique, le compositeur propose une musique tout en retenue. Bien mou, le score a pourtant un côté hypnotique à travers son aspect japonisant, tant au niveau des instruments que des chants, qui m’a fait penser à Akira.
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Un score composé en 2018 dans lequel Jones joue la subtilité avec voix et solistes (percussions légères notamment). Thématique et atmosphérique à la fois, le tempo lent et les motifs hypnotiques mènent à un final choral à l’émotion superbe. Que ça fait du bien de retrouver Jones !
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Revoir ce compositeur sur un film, ça fait plaisir. Flirtant avec les codes de la musique horrifique japonaise (lieu où se déroule l’intrigue) en utilisant l’instrumentarium ad-hoc (yangqin, shamisen…) en lien avec l’échelle pentatonique de rigueur et des voix diaphanes, Jones parvient à captiver avec un matériel musical assez simple.
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Quel plaisir de retrouver le trop rare compositeur, qui fut au sommet à la fin du siècle dernier. Une composition soft pour un film d’horreur esthétisant, bête de festivals. On pourra regretter l’influence trop présente de Ghost In The Shell et apprécier le travail des chœurs, notamment sur le final. Ce n’est pas Hideaway, mais c’est déjà pas mal.
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