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Une redécouverte vertigineuse : insolemment virtuose, Williams n’en était pas moins, alors, un musicien de son époque – et pas encore un genre musical à lui tout seul. Typiquement 70’s, le score peut faire penser à Fielding et Schifrin, même si la facilité avec laquelle Williams décline ses thèmes dans tous les registres n’appartient qu’à lui.
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Un score à la fois aérien et tendu comme la ficelle du sachet de thé dans mon bol vide. John Williams, qui connaît la passion d’Eastwood pour le jazz, en met régulièrement dans cette superbe partition. L’achat est chaudement recommandé, même si on peut s’interroger sur l’intérêt du CD 2, qui cumule album d’origine, source music et alternates.
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Je ne connaissais pas ce Williams et, ouah, la claque ! On sent parfois que The Towering Inferno n’est pas loin, mais c’est souvent à Schifrin ou Shire que j’ai pensé. Émotion, tension et envolées menées par des thèmes mémorables et des arrangements 70’s de grande classe.
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Un Williams atypique (vibraphone, clavecin, guitare acoustique), un peu jazzy et virtuose, qui brille par son fantastique thème principal, accommodé à toutes les sauces, de l’intimiste au grand symphonique. Et que dire des pistes d’action, rythmiques en diable, qui rappellent The Time Tunnel (en bien plus massif) et toisent les sommets ?
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Vous prendrez bien un peu de rab de Williams pour du Clint ? Plus du double par rapport à l’album d’époque, et même s’il n’y a pas vraiment de surprise, on trouve de merveilleuses variations sur un thème magnifique. Et des morceaux de bravoure à donner le vertige, à l’instar de certaines scènes du film.
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