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Un score dans la tradition du documentaire animalier d’aujourd’hui, autrement dit, un peu passe-partout, et reposant plutôt sur des développements peu liés à l’image, mais qui sait aussi se laisser traverser par un certain souffle, voire un lyrisme qui le distingue du tout venant.
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Pour cette nouvelle incursion dans le documentaire animalier, Heffes ne révolutionne rien, mais fournit un beau score qui magnifie les images. Et ma foi, c’est bien ce qu’on lui demande. C’est riche et varié et ça prend parfois une belle ampleur. Protégez la nature, ne faites pas comme l’éditeur et boycottez le digital, plus polluant qu’un simple CD.
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Heffes marche sur les traces de Harry Gregson-Williams, rompu aux docus animaliers, armé d’un orchestre, de chœurs, d’électro et de solistes (bois, guitare, violoncelle, piano…). Bon travail, évocateur, efficace, chaleureux, sans jamais être surprenant toutefois.
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Le score orchestral de Heffes, à tendance pastorale, mâtiné de références à Horner et Isham, ne fera sans doute pas fondre la banquise. Mais si, comme moi, vous aimez les musiques de documentaires mélodieuses, généreuses et amples, ça fera peut-être un peu fondre votre cœur d’artifroid. Un joli score.
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Je ne connaissais de ce compositeur que son (chouette) boulot sur la série 11.22.63. Il magnifie ici l’arctique pour les besoins d’un documentaire IMAX, et c’est vraiment très joli. Une courte partition, logiquement pleine de fraîcheur.
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