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Bande son à deux facettes : d’un côté des éléments synthétiques plus ou moins avenants selon l’ambiance développée, de l’autre des cordes proactives et volontaires dont l’énergie motrice est de loin l’aspect le plus abouti et satisfaisant de l’ensemble. Paul Leonard-Morgan ne démérite pas et son travail mérite l’attention.
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Après Tales From The Loop, nouvelle belle surprise de la part du compositeur. J’ai souvent pensé à Reznor & Ross, ce qui suffira à faire fuir presque tout le monde. Pourtant ce score sait se détourner des systématismes électro pour construire un vrai récit, avec des ruptures plus délicates, voire enchanteresses. Très beau disque.
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Leonard-Morgan est un compositeur risqué (son Dredd me file encore des cauchemars) et ce nouveau titre emprunte d’ailleurs un chemin semé d’embûches musicales. Les plages plus électro ont peut-être un sens à l’image, mais en écoute seule, c’est juste pénible. En virant le gras, on passe de 83 à 40 minutes, qui s’avèrent bien agréables.
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Ma maman me disait souvent qu’il faut s’inspirer des autres pour donner le meilleur de soi-même. Leonard-Morgan suit ce conseil à la lettre, infusant sa partition de références allant de Danny Elfman (le côté syncopé des orchestrations) à Thomas Newman (instrumentation originale balayant du synthé à l’acoustique). Une bonne surprise.
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Pour ce documentaire fondé sur les mémoires de la veuve du créateur du LSD, le compositeur de Dredd tente de créer un score hypnotique, propice à la transe. Sa formule agréable reste équilibrée, sans fulgurance ni bad trip. La voix féminine qui évolue sur certaines pistes s’avère être une bonne idée, bien intégrée (présente, mais pas trop).
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Musique d’un documentaire sur fond de LSD. Paul Leonard-Morgan alterne orchestre menaçant et mystérieux et synthés planants et étranges. Un poil trop long mais c’est d’la bonne, man.
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