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Une fois encore, Balfe offre d’abord un condensé de ses idées en une petite trentaine de minutes : la présentation est frustre mais on apprécie une certaine inspiration mélodique. Reste à juger de la mise en œuvre in situ qui, dans le cas de la précédente saison, était franchement d’une grande médiocrité. Verdict à suivre…
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Lorne « Balfe-dans-ta-gueule », c’est le genre à aimer le foie gras entier artisanal, bien assaisonné, avec un bon verre de pif pour l’accompagner. Sauf qu’il te sert des tranches de 5 centimètres d’épaisseur et te l’étale comme un porc sur une demi-baguette imbibée de Saindoux. Bon app’.
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Bon, 31 minutes, c’est court. Balfe nous prend la main pour nous emmener dans… (mais non, pas un fourré !) un monde merveilleux. Merveilleux, mais assez convenu et sous influence RCP, même s’il y a de très belles choses. Cela manque encore de fantasy ! Il est à craindre que ce score s’envole vite des mémoires. Avec Balfe, c’est un peu Vive le Vent!
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Cette série est globalement assez réussie, et il faut bien reconnaitre que Balfe y est pour quelque chose. Déjà surpris par la qualité du premier volume, j’avoue qu’il a récidivé. Sans être géniale, sa musique ne manque pas d’ampleur, ni de thèmes. Bref, on est loin de l’affront de son Mission: Impossible. Dommage que ce soit si court !
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À peine plus de 30 minutes pour cette anthologie, c’est un peu court et on va espérer très fort une compilation plus longue car c’est carrément superbe ! Balfe est visiblement très inspiré par l’histoire et livre là son Magnum Opus, selon moi. Le thème du poignard subtil est magnifique, et tout le reste est à l’avenant.
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