|
Canevas décousu où, entre trames percussives, sonorités agressives et velléités rock lourdingues, les vraies bonnes idées se font plutôt rares et s’avèrent de toute façon fort limitées : rien n’est bon ici pour accrocher l’oreille. Lennertz a du talent à revendre, on le sait, mais pour ce qui est de singer Pemberton, on oublie. Vite.
|
|
Du gros son, des guitares – on pense souvent à Tyler Bates – mais aussi des solistes qui viennent chercher la larme sans aucun tact, une indiscutable habileté à composer dans différents genres… Un score plein d’énergie, pro, clairement là pour appuyer les effets de l’image.
|
|
Pemberton n’étant toujours pas libre, Lennertz poursuit sa petite entreprise en déroulant son papier peint entre action, tension et quelques pointes d’humour. Moins référentiel que la première saison mais aussi moins fun.
|
|
Le score de cette seconde saison reste évidemment dans la continuité de la précédente, les morceaux étant même toujours aussi courts. L’effet de surprise s’est bien sûr estompé, mais ça demeure aussi varié et fun à écouter. Par contre, si vous n’avez pas aimé le premier album, passez votre chemin.
|
|
J’avais été moyennement fan de la musique de la première saison. Ici, Lennertz pousse le bouchon encore plus loin dans l’attitude globalement rock, mais qui laisse derrière elle comme un goût de vide. Lennertz a les nerfs. Mais ce n’est pas assez thématique pour moi et trop atmosphérique. Oh boy…
|
|
Grand fan de la série, j’aime surtout l’utilisation des chansons, voire d’autres musiques. La B.O. est fonctionnelle, bourrine, avec peu de respiration. Mais là encore seules les chansons parodiques m’intéressent…
|