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Hoffa, c’est un peu l’enfant bâtard du F.I.S.T. de Conti et du patriotisme façon Williams chez Stone. L’album de 92 était superbe de bout en bout, et cette intégrale ajoute de multiples variations inédites sur un thème tellement fort qu’il est impossible de s’en lasser malgré ces itérations. Un des meilleurs scores de Newman, forcément indispensable.
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David Newman signe un canevas fermement cuivré, d’une solennité assez sombre dans son genre, et dont certaines manières symphoniques ne sont pas sans évoquer certains Poledouris, Horner et Broughton en particulier. Du bel ouvrage donc, assurément, même s’il s’avère plutôt austère et répétitif au bout du compte.
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David Newman, c’est un de ces secrets toujours trop bien gardés des amateurs. Hoffa, comme nombre de ses travaux, est un score symphonique inspiré, portant les émotions du récit sans faille, débordant d’un amour palpable à chaque mesure pour l’écriture orchestrale.
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Cette nouvelle édition propose 77 minutes de score, assez loin des 42 minutes du CD de 1992. Newman illustre ce drame politico-syndicalo-mafieux avec grâce et sensibilité, l’aspect humain étant au centre du film. Rassurez-vous, camarades, il y a aussi quelques envolées héroïco-américano-thrilleresques… mais pas assez à mon goût.
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Les années 90, la grande époque du trop rare David Newman. J’avais acheté le disque en sortant du film. A son excellent sens symphonique (inoubliable Mr. Destiny), le compositeur américain ajoute une emphase dramatique magnifique. Une grande et belle partition.
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