|
Newman sait fort bien marier les tendances à la mode avec une écriture classique. C’est exactement ce que propose Tarzan, et c’est tant mieux, tant on se régale tout autant d’une vraie écriture thématique que des aspects plus modernes de la partition. |
|
Un verre de Banga et en route pour l’aventure ! On pouvait faire confiance à Newman pour signer une partition volontaire qui puise sa force autant dans son matériau thématique traditionnel que dans des gimmicks plus actuels. Satisfaisant. |
|
Mélange idéal de tradition et de modernité, ce Tarzan transporte du début à la fin. Newman a autrement plus de ressources que certains de ses collègues pour satisfaire les diktats de producteurs sans trahir la musique qu’il aime. |
|
Sans aucun doute, la nouveauté du mois. C’est plein de thèmes prenants, on n’a plus qu’à fermer les yeux et à imaginer sa propre histoire de Tarzan. Un album qui évite tous les écueils du genre, ça fait plaisir. Qu’est ce que vous attendez pour vous jeter dessus ? |
|
Pour une énième version de l’histoire de l’homme-singe, Newman compose, en solide vétéran, un score bien charpenté, cohérent, avec ses moments forts attendus. C’est écrit comme il y a vingt ans et donc en dehors des modes. |
|
Une des grandes surprises du mois. Newman a pris ses dopants et nous pond un très bon petit score qui navigue entre modernité et musique de film à l’ancienne. C’est tellement rare que je vous invite à aller y jeter une oreille vite fait. |
|
Du « symphonique à l’ancienne », a-t-on entendu ça et là. Peut-être, à bien des égards, mais assaisonné de tant d’ostinati se mordant la queue que même la proverbiale générosité de Newman en prend pour son grade. |
|
Étonnamment sombre, un score qui repose beaucoup sur l’orchestre et les chœurs. Certes, Newman flirte avec des tics à la RCP, mais compense par une prise de son favorisant les instruments acoustiques. |