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Un score orchestral bourré de thèmes et conçu avec le même soin que n’importe quelle partition pour le cinéma. Bref, un travail collectif sensationnel, juste un cran en-dessous de Batman: The Animated Series, mais qui mériterait une présentation plus resserrée que ces 5 heures un peu indigestes. |
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Un disque hors du temps, survivant de l’âge d’or du serial : marches aux cuivres fanfarons, cordes cisaillant le suspense, violons romantiques, retrouvés avec un charme intact. Un chant du cygne, aussi : le soleil qui rayonne derrière la cape rouge feu de l’homme d’acier est un crépuscule. |
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Autant j’adore Walker, autant j’adore ses thématiques, autant McCuistion fait du bon boulot… Autant je n’en peux plus de cet album de quatre disques beeeaaauuuucoup trop long. M’enfin ça reste d’un autre niveau que la plupart des autres sorties du mois. |
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Honnêtement, c’est super, il n’y a rien à dire sur la musique. Mais quatre disques, soit plus de cinq heures de musique ? Sérieusement ? Malheureusement, c’est trop vite soûlant pour un néophyte. A réserver aux fans hardcore de la série et/ou des compositeurs. |
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En passant des coupe-gorges de Gotham aux avenues proprettes de Metropolis, Shirley et sa bande ont peut-être égaré un brin de leur verve mélodique. Mais l’hommage rendu à Supes, tout en cuivres aériens, demeure fracassant. |
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Tout en assumant l’héritage de Williams, le thème de Walker s’avère enthousiasmant, tant il exprime l’héroïsme. Les compositions orchestrales s’inscrivent en plein dans la veine de Batman: The Animated Series. Un must. |