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Le style aventureux de Newman, immédiatement reconnaissable, s’invite dès le thème principal et ses envolées cuivrées. Toute la partition est d’ailleurs entièrement construite autour de ce thème (qui rappelle celui de The Phantom), pour le meilleur (orchestrations aux petits oignons) et pour le pire (l’album, très long, finit par être répétitif).
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Honnête musique d’aventure illustrative, un peu bourrative sur la longueur néanmoins voire pachydermique par instant, d’autant que David Newman use et abuse de son thème principal, ressassé sans cesse. Sympathique mais loin d’être essentiel… excepté pour les fans de la famille Duck, bien évidemment !
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Pour les trentenaires et quadragénaires, il s’agit d’un animé cultissime. Pour les autres, tant pis pour vous, mais vous pourrez au moins profiter du score ultra fun et rempli d’aventures d’un David Newman en pleine forme.
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Comme souvent pour ces adaptations en long-métrage, le thème d’origine est peu utilisé, ce qui fait perdre au score une grande part de sa personnalité, même si David Newman utilise tout son talent pour pondre une belle œuf-vre musicale hollywoodienne. Coin Coin.
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On regrette évidemment l’absence du thème mythique de la série, mais Newman ne démérite pas en prenant pour modèle Williams, Horner, Goldsmith et Broughton. Il pimente cette aventure comique symphonique d’un ton relativement sombre, nous emportant ainsi dans des montagnes russes musicales jouissives. Un travail riche et solide.
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David Newman nous embarque dans un voyage aux confins du mickey mousing, mais en gardant toujours un oeil sur la mélodie et la thématique. Débutant joyeusement, la partition se fait de plus en plus sombre à mesure que le récit avance. Bénéficiant d’un très large orchestre, Newman en tire à chaque fois le maximum avec habileté.
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