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Un double programme de bondieuseries qui nous permet de découvrir un illustre inconnu (il n’a que cinq films, tous obscurs, à son actif). Les influences stylistiques de grands scores hollywoodiens (Rózsa, Newman, Moross….) empêchent pourtant de considérer cette exhumation comme autre chose que sympathique à défaut d’être originale.
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Parution aussi inattendue que délicieuse de deux partitions éminemment engageantes, chacune à leur manière, la première déroulant une fresque pour cuivres et cordes évoquant certains sujets historiques traités par Miklós Rózsa, Ernest Gold ou Michael J. Lewis, la seconde révélant des parfums d’un americana plus mélodique et romantique.
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Là, ça sent l’ostie : le score d’un film entièrement fabriqué par la plus grande université évangélique, et dont tous les postes sont occupés par des membres !!! Niveau musique, imaginez une boucle des passages christiques de Ben-Hur, avec une pincée de western et du thème du Graal d’Indiana Jones III. Un vrai collector en tous cas !
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Dwight a fait beaucoup de scores, comme… euh… Flame In The Wind et Sheffey, ainsi qu’une paire d’autres films. Et à l’écoute, je déplore qu’il n’ait pas plus bossé pour le cinéma. Le bougre n’ayant œuvré que sur des histoires vantant la foi chrétienne, ça limitait forcément. Ça sent bon le péplum et le western des 50’s. Vivement une suite !
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Je n’avais du tout compris qu’il s’agissait de vieux scores… d’où ma surprise au début. Un compositeur peu connu, deux films que je connais encore moins. Intéressant mais pas transcendant même si je préfère Sheffey, plus lumineux.
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