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Un étrange patchwork musical parfois tendu et malaisant, parfois aussi générateur d’une étrange beauté glacée. Si la variété de tons est appréciable,c’est peut-être pourtant du côté disjoint de la partition que ça pêche, mais Barr fait tout de même preuve d’une personnalité bien à lui. A écouter de préférence avec un verre d’absinthe en main.
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Le vrai bon point va à l’identité musicale et sonore (fiddle, chœur féminin, orgue en première ligne, un peu d’électro aussi pour le côté steampunk) mais le résultat, bien qu’intriguant, manque néanmoins d’un attrait, d’une séduction supplémentaire.
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Barr, bien plus doué pour les atmosphères doucement folk, brade l’action de la plus générique des manières – à coups de matraquage percussif – et n’est pas loin d’enchanter lorsqu’il met en note la féerie steampunk du projet, aussi justement dans les mélodies que l’instrumentation.
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Le Main Title, classique, introduit féerie et danger. Hélas, le reste du score ne démarre jamais vraiment, se montrant assez mou (à l’image de la série semble-t-il), malgré de belles trouvailles. J’aurai vraiment aimé adoré cette musique… mais il y manque un petit (gros ?) quelque chose. Au final, ce n’est pas désagréable, mais ça reste frustrant.
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