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Aux oubliettes, les velléités érotico-horrifiques de Jess Franco : Daniel White accompagne avec lyrisme et élégance les tribulations de la comtesse spermovampirique (!!!), et une touche d’exploitation jazzy à l’italienne qu’on retrouve également dans Des Frissons sur la Peau. En accompagnement, un sensuel chianti fera bien l’affaire.
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Comtesse ou frissons, voilà deux ambiances italo-70’s léchées pour piano, cordes et voix féminine, à une époque où lorsqu’on tenait un bon thème (voire deux ici donc), on ne le lâchait pas de toute la partition pour en aligner une multitude de variations. Pour les amateurs.
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Très beau document témoignant d’une époque ou la plus bancale des productions pouvait embarquer un musicien soucieux de donner du plaisir au spectateur, et d’en trouver en composant. Avec des moyens réduits, l’envie de faire de la musique est toujours là. J’ai souvent pensé aux Hammer de Nascimbene ou Robinson.
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L’écoute de ce double programme est plaisante, même si ça ne va pas révolutionner votre journée. C’est gentillet et un peu jazzy, avec parfois une voix sensuelle pour le côté érotique. Les deux scores s’enchaînent parfaitement, donnant l’impression de venir du même film. Sympa, mais vite oubliable. De toute façon, le CD est déjà épuisé.
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J’avoue que je n’avais jamais entendu la moindre note du travail de ce compositeur jusqu’ici. Et le contenu de ce CD me l’a fait amèrement regretter. Le travail thématique est intéressant, les variations mélodiques allant de l’adagio pour cordes au côté pop rétro sont vraiment dignes d’intérêt. Un très bon disque, même s’il est un peu court.
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