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Une fascinante plongée dans la post-production compliquée d’un vrai nanar ? Une parodie qui rappelle les grandes heures de Barry dans l’univers de 007 ? Une indigestion des oreilles qui donne l’impression d’écouter 5 fois le même album à la suite ? Un horrible album de pop sucrée 80’s ? Howard The Duck, c’est tout cela, et bien plus encore !
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Largement inédit mais répétitif et sans surprise pour qui connaît bien son Barry, lequel offrait là une sorte de The Specialist avant l’heure pour tenter un résumé rapide (et en un titre), sauf que ce dernier se révélera bien plus irrémédiablement envoûtant. Quant aux retouches 80’s de Levay et chansons de Dolby, elles sont carrément dispensables.
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Je n’ai jamais compris l’engouement pour ce score de Barry, un peu ringard (comme le film). Le thème central, archi-générique, que Barry a du écrire dans son sommeil, avec des inflexions « film noir », est ultra plat. Rien ne semble surnager et l’ennui pointe facilement le bout de son nez. Non, vraiment Barry n’était pas très inspiré.
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Faut pas le prendre pour un canard sauvage, le John. Pour illustrer ce film barré, il a pondu un score jamesbondien classique et jouissif ! Avec une orientation plus super-héroïque, le travail de Levay est intéressant, hélas le synthé a mal vieilli. Quant au CD 3, avec ses vilaines chansons typées 80’s, il ne casse pas trois pattes à un canard.
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