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Sans surprise, Etienne Forget poursuit son exploration dans un style qui fait référence peut-être encore plus ouvertement à Vangelis et Jean-Michel Jarre que sa partition pour la première saison. En tout cas pour l’amateur du genre cela reste tout autant accrocheur. Bravo !
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Il y a vraiment une consanguinité dans tous ces scores « spatiaux » récents. Ici, comme ailleurs, on convoque le souvenir d’Interstellar, Sunshine, Blade Runner ou même The Martian : tout y passe, sans non plus sombrer dans la citation directe. Plutôt des climats attendus, dans lesquels on a plaisir à se laisser bercer, si on aime le genre.
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C’est un retour musical dans le passé pour Etienne. Forgé dans le creuset synthé des années 80, ce score pique tout de même les oreilles. Hélas, je n’accroche vraiment pas à cet aspect musical (j’ai parfois pensé à Blade Runner), mais c’est toujours mieux qu’un vulgaire papier-peint musical. C’est dommage, car on perçoit d’intéressantes idées.
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Saison 2 pour la série de SF française, et toujours Etienne Forget à la baguette. Synthés au programme, parfois un poil trop planants, parfois pulsatifs, parfois joliment mélodiques. Ça donne en tout cas envie de découvrir les images.
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Etienne Forget poursuit dans la veine électro de la première saison et livre une partition spatiale envoûtante, où les influences sont évidentes, Vangelis en tête. C’est bien écrit, agréable à écouter, mais à réserver aux amateurs du genre.
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