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« Force Blonde » Tyler et son collègue (qui n’est ni une femme, ni un breton, ni blond), emboitent le pas de nombreux autres musiciens sur les chemins très fréquentés de la musique de films indés façon Sundance. Mais le fait est que leur très joli score, minimaliste mais délicat, à la fois léger et doux-amer, fait son petit effet en termes d’émotion.
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Il y a quelque chose de Rolfe Kent dans cette musique légère, un peu douce-amère, mais aussi, parfois, entrainante. Dominée par la guitare acoustique, électrique, le piano, la batterie, un xylophone et quelques synthé-cordes, la partition est presque entièrement jouée par les compositeurs eux-mêmes. Peu novateur mais très intéressant.
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J’aime ! Selon ses dires, Tyler a co-composé cette musique comme un concept album indie. Ça lui va mieux que le symphonisme facile. Faussement futiles, ses ballades pop éthérées tamisent la tristesse du sujet (un drame romantique ado hospitalier), l’émotion pointe. Relaxant, tendance, et finalement profond.
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