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Un classique parmi les classiques, revisité à nouveau par Hisaishi et bénéficiant cette fois de nouveaux arrangements et d’une interprétation sans faille du New Japan Philharmonic. En bonus, une Asian Symphony de toute beauté qui utilise tout aussi magnifiquement les ressources de l’orchestre. Pour les fans, certes, mais ils sont nombreux !
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Une belle suite de concert de Castle In The Sky, nouvellement enregistrée par Hisaishi à la tête du New Japan Philharmonic, ça ne se refuse pas si on est fan. L’Asian Symphony, dans la même veine, est un joli complément de programme qui ne révèle cependant rien du compositeur qu’on ne connaisse déjà.
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Hisaishi revient au Château avec son symphonisme habituel, se posant de plus en plus comme le gardien d’un temple imaginaire érigé à la gloire de la musique française du début du XXème siècle, dont les dieux seraient des Debussy et Ravel comme on ne peut les rêver que depuis le Japon. Moins calorique, Asian Symphony est aussi plus monotone.
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Plus proche de la révision du score de 2003 que de la suite symphonique de 1987. Pistes brèves, reprenant chacune une idée thématique. De même durée, Asian Symphony s’inscrit dans le même langage musical, avec une pointe de minimalisme. Plaisir d’écoute accentué par une interprétation exemplaire et un enregistrement détaillé.
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Toute la science de l’écriture orchestrale de Hisaishi condensée en un disque. Vous ne me croyez pas ? Laissez vous tenter, vous verrez bien… Mais ça m’étonnerait que vous en ressortiez déçu.
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