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Pas d’overdose de budget pour cette suite que personne n’attendait, mais Streicher se débrouille plutôt bien dès lors qu’il s’agit de mixer instruments acoustiques et samples, même si la prédominance de ces derniers diminue l’impact de cette partition enlevée et agréablement colorée. Mais peut-être a-t-on affaire à un compositeur à suivre ?
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Suite logique du précédent épisode (Howard Lovecraft And The The Frozen Kingdom), soit une partition toujours aussi distrayante et soignée mais également un peu longuette et sans trop de personnalité. Il serait temps de pouvoir apprécier d’autres facettes de George Streicher, pour voir…
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On se dit qu’il y va y avoir un peu d’Elfman là-dedans. Bingo les haricots ! Une influence bien digérée par le compositeur qui livre un score d’aventure sombre bien ficelé.
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Assurément un travail de passion pour Streicher, contournant habilement l’éventuelle rigueur budgétaire (samples pour gonfler l’orchestre). Il déploie son univers gothico-fantastique à l’ancienne avec minutie et délicatesse, montant graduellement en ampleur. L’écriture garde un certain côté intimiste malgré tout. Méritoire et recommandable.
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Streicher revient aux commandes de son thème principal pour le premier film (The Frozen Kingdom). Mais, pour être honnête, si la partition est correctement écrite (mettons de côté quelques samples un peu moches), je n’en ai hélas aussi rien retenu, ou presque. Sympa pour jouer à un jeu de rôle, peut-être, mais pas davantage.
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