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Chers frères, que d’énergie ! J’avais déjà été plutôt conquis par le premier volume de ce reboot à base de marionnettes en CGI, mais cette fois vous avez placé la barre encore plus haut, tant dans l’action frénétique que dans les nombreux hommages à Barry Gray (et aux Incredibles de Giacchino, si, si). Thunderbirds are go ? Fosters are go too !
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Un deuxième volume à l’image du premier, exubérant et gentiment divertissant mais toujours sans un charme bien à lui, constamment tiraillé une fois encore entre la musique des Doctor Who et, en particulier, de The Incredibles de Giacchino.
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Je n’avais pas été totalement convaincu par le premier album. Si le mixage est encore poussif, le rendu synthétique est moins présent et l’écriture semble un peu plus précise. On ressent aussi moins l’influence de Giacchino et plus celle de Barry et Arnold. Entrain, romance, exotisme de cinéma : on suit tout le programme avec beaucoup de plaisir.
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Moi, je suis client de Ben Foster, je suis client des Thunderbirds et je suis très client d’un orchestre bien maitrisé. Pas du tout avares en motifs et thèmes, les deux frères font du beau boulot. Ça pulse adroitement avec punch et parfois je me suis surpris à dodeliner de la tête. Ce n’est pas Barry Gray, mais c’est très sympa tout de même.
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