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Les frères Foster tentent de concilier modernité et hommage à l’héritage de Barry Gray au travers des 57 vignettes musicales de cet album plein de clins d’oeil. Le résultat, qui rappelle aussi parfois Torchwood et Hidden Kingdoms, est mélodique, exubérant et parcouru d’une énergie orchestralo-électro-pop à la bonne humeur fort sympathique.
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Beaucoup d’énergie jetée dans la bataille, quelques éclats un peu fun mais, sans être désagréable, cette nouvelle mouture des Sentinelles de l’Air est un peu balourde et manque d’un vrai charme pour être autre chose, au fond, qu’un genre de sous-Dr. Who rappelant aussi parfois les Incredibles de Giacchino ou les premiers Bond d’Arnold.
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Contre toute attente, on se retrouve à l’écoute d’un album ultra pêchu, sans jamais être agaçant. Comme il s’agit d’une série, il y a beaucoup de pistes et pas mal se répètent, mais encore une fois, pas d’ennui, pas d’agacement, juste de la jubilation.
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Il y a une certaine frénésie dans l’approche qui apporterait son lot de de plaisirs coupables si l’on ne sentait pas comme une couille dans le potage au niveau des orchestrations et de la thématique. Passe encore qu’un thème soit « inspiré » d’un autre assez connu : les samples, eux, sont parfois gênants.
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En lançant le CD, on se dit que ça va être fun. Et les compositeurs s’en sortent plutôt pas trop mal, mais manquent cruellement de moyen pour arriver réellement au bout de leurs ambitions.
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Énergique, électrique et rythmé, ce retour des Thunderbirds ! Ça rappelle énormément David Arnold ou Giacchino revisitant l’œuvre de Barry. L’album est distrayant, mais le rendu sonore est à la peine, plombé par des boucles percussives bien banales et un mixage orchestral artificiel, compact et poussif.
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