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Un projet vraiment inhabituel (et inattendu) pour Doyle ! Le compositeur y aligne avec aisance les petites mélodies sucrées, comme une succession de petits feux d’artifice colorés, ajoutant à l’orchestre qu’il maitrise si bien une part d’électronique qui fait sourire par sa candeur. Plus surprenant que remarquable, le tout reste sympa de bout en bout.
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Dire qu’on attendait rien de Doyle sur un projet pareil est un doux euphémisme. Petite surprise donc avec cette fusion synthés-orchestre souriante et récréative certes inégale (les scènes d’action manquent d’entrain) mais animée de jolies sonorités, d’un thème joyeux et de gimmicks et élans orchestraux que le fan du compositeur appréciera.
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Ce n’est pas le chef d’œuvre de Doyle, et je ne l’attendais pas vraiment sur ce truc. Mais voilà comment l’écossais utilise les codes ultra rabâchés en y imposant son style, toujours fort en émotions. L’utilisation en totale fusion de l’électro et du symphonique m’a tout simplement bluffé.
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Lorsqu’on écoute Doyle faire dans l’animation, le ravissement est pour ainsi automatique. Non seulement on a droit à des orchestrations soignées, mais la thématique enjouée finit d’emporter l’adhésion. Sans vouloir comparer à tout prix, d’autres studios et musiciens devraient en prendre de la graine. Sauf Olivier Cussac, bien entendu.
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Quoi ?! Oui, oui, Doyle est parvenu écriture une musique diablement divertissante pour un film basé sur des émoticônes. Tel un gamin mélangeant tous ses jouets, Il mixe allègrement orchestre symphonique impérial et électro minimaliste fluo. La ritournelle principale devient vite obsédante, et on en redemande !
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