Wonder Woman (Rupert Gregson-Williams)

UnderScorama • Publié le 15/06/2017 par

Wonder WomanWONDER WOMAN (2017)
Compositeur : Rupert Gregson-Williams
Éditeur : Sony Classical / WaterTower Music
Format : CD & Digital
Date de sortie : 02/06/2017

2.5 out of 5 stars
Olivier Desbrosses On sent bien d’entrée de jeu que RGW tente de laisser une place plus importante aux instruments par une écriture plus traditionnelle, et d’obtenir ainsi un son plus naturel que celui du corpus DC Comics existant. Mais c’est peine perdue : l’influence RCP est si écrasante qu’il revient bien vite dans le rang de l’habituel gros son indigeste. Dommage.
2.5 out of 5 stars
Florent Groult Cordes et duduk élégiaques, percussions et cuivres écrasants, emphase soit disant épique parce qu’elle engraisse le volume sonore : malgré ses efforts de construction, RGW ne rehausse en rien une recette figée depuis des années comme un onzième commandement. Et l’apparition du motif rock introduit dans BvS n’y change rien.
2 out of 5 stars
Pierre Braillon Même pas honteux, tout juste pro, bien cousu le long du patron laissé par le temp track, le seul relief provenant du thème hérité de Zimmer, qui a le mérite de ne pas faire dans la demi-mesure et de susciter une réaction épidermique. C’est loin d’être le cas du reste, exactement à la température de l’air du temps.
2.5 out of 5 stars
Sébastien Faelens Il y a quelques jours, j’ai branché mon smartphone sur mon autoradio et le mode lecture aléatoire a lancé une espèce de truc bourrin à chier et même pas drôle. L’écran était éteint. Quand je l’ai allumé, j’ai découvert que c’était Wonder Woman.
1 out of 5 stars
Milio Latimier RGW fait une nouvelle fois des efforts. De nombreux passages démontrent sa volonté de peindre un univers émotionnel un peu plus coloré que sur les précédents films DC. Pourtant, dès que ça s’emballe, il peine, écrasé sous les recettes plombantes et
« soooooo epic » mille fois régurgitées par les lieutenants du général Zim.
2.5 out of 5 stars
Christophe Maniez A l’image du film, il y a de bonnes choses, l’aspect romance notamment. On retrouve avec parcimonie le thème que Zimmer et Junkie XL avaient écrit pour BvS. Le traitement du reste, notamment l’action et le suspens, est plus conventionnel. Mais, étonnamment, les tics RCP sont moins envahissants que supposés. Pas si mal.
3.5 out of 5 stars