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Un Goldsmith au sommet de son art qui fusionne orchestre et synthétiseurs dans un tourbillon de maléfices rageurs et de chœurs démoniaques, et synthétise en musique l’affrontement biblique entre le bien et le mal. Oui, rien que ça ! Cette énième édition définitive (la cinquième !) sera par contre réservée aux fans hardcore.
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Goldsmith n’était réellement pas du genre à se reposer sur ses lauriers, comme en témoigne le matériau totalement repensé pour ce second volet : le résultat est à la fois ténébreux et enivrant. Si vous ne possédez aucune des éditions précédentes, inutile de tergiverser plus longtemps. Les autres repasseront-ils à la caisse ?
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Ho putain, il me manque 3 minutes sur mon édition Varèse. Et le son n’est pas terrible finalement. Et je n’ai même pas les prises alternatives ! Qu’est-ce que je fais ? Qu’est-ce que je fais ?
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Suite à la proposition du studio, Intrada revisite cette partition impressionniste (et clivante) du maestro pour faire la totale. Ma préférence personnelle va pour le mixage analogique, fourmillant de détails floués par la réverbération du mixage digital. Les détenteurs des précédentes, surtout la version Kritzerland, pourront passer leur chemin.
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Les adorateurs de Goldsmith vous diront que « Youpi c’est génial d’avoir deux CDs au contenu rigoureusement identique » (seul le mixage change). Personnellement, je ne suis pas super convaincu. En revanche, du Goldsmith qui tambouille avec joie et frénésie (si, si) orchestre, chœurs et électronique, ça se refuse ?
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