Alien: Covenant (Jed Kurzel)

UnderScorama • Publié le 15/05/2017 par

Alien: CovenantALIEN: COVENANT (2017)
Compositeur : Jed Kurzel
Éditeur : Milan Music
Format : CD & Digital
Date de sortie : 26/05/2017

2 out of 5 stars
Olivier Desbrosses Après une brochette de compositeurs particulièrement prestigieux, c’est au tour de Kurzel d’apporter sa pierre au dernier film de Ridley « Alzheimer » Scott, ou plutôt son petit caillou, sous la forme de pulsations électroniques et de sound design indigeste, le tout plaqué sur les thèmes composés par Goldsmith pour le premier film. Aucun intérêt.
1 out of 5 stars
Florent Groult Les sempiternelles textures informes que Scott, plus que jamais sourd, espère sans doute rehausser en permettant à Kurzel de puiser sans talent dans la géniale partition de Goldsmith et de faire subir à ce dernier, au vu de la mocheté du résultat, un ultime outrage post-mortem après avoir tant malmené sa musique par le passé. Pathétique.
1.5 out of 5 stars
Pierre Braillon Ceux qui attendaient qu’un compositeur se place enfin dans l’ombre de la mythique partition de Goldsmith sont exaucés, même si la réappropriation vire parfois au remix. Car Kurzel est un compositeur bien de son temps : le son est aussi important que les notes, et il vaut mieux apprécier d’éprouver des ambiances plutôt que suivre des mélodies.
3 out of 5 stars
Baptiste Brylak Alors bon, j’ai mis deux, hein, mais c’est surtout parce qu’il y a les thèmes de Goldsmith dedans le CD. Qu’on réinterprète un peu version bouillabaisse des fois, histoire de bien montrer aux jeunes qu’on ne l’oublie pas, on revient aux bases voyez. Ah et le thème des spores, j’ai bien rigolé.
2 out of 5 stars
Sébastien Faelens Outre un recyclage en règle de Goldsmith, on entend de Kurzel une ou deux idées personnelles insuffisantes pour faire une bande origianle notable. Covenant, c’est convenu.
2 out of 5 stars
Milio Latimier Mêlant de force la partition de 1979 à un environnement percussif épuré, métallique, Kurzel tente de retrouver le mélange de beauté et d’effroi cher à la saga. Curieuse hybridation musicale, le score se prête plus à l’autopsie clinique qu’à un plaisir d’écoute franc, son identité propre rendue inféconde par les greffes parasites de ses aînés.
2.5 out of 5 stars
Christophe Maniez Goldsmith, Horner, Goldenthal… Comment passer après ces trois monuments ? Kurzel a décidé de passer complètement… à côté. Sa musique est d’une vacuité totale. On dresse l’oreille lorsqu’il reprend un peu les bois en écho et le thème à la trompette de Goldsmith, mais il n’en tire rien d’autre. Dans le film, c’est archi fonctionnel, mais vide et plat…
1 out of 5 stars