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L’inspiration et la technique irréprochable de Serge Franklin sont les meilleurs atouts de cette partition qui évoque parfois, dans ses meilleurs moments, celle de L’Enfant des Loups. Reste que l’utilisation trop fréquente du thème principal un peu kitsch pèse certainement sur une écoute intégrale qui s’avère au final un peu longuette.
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Musique typique d’une saga sentimentale, avec les petites outrances expressives que cela implique, mais aussi de petites choses plus secrètes, des chœurs du plus bel effet et de belles alliances instrumentales. L’ensemble, qui cache derrière une apparente simplicité un classicisme romantique élégant et distingué, est une belle découverte.
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Un score un peu répétitif, avec les nombreuses déclinaisons d’un thème principal romanesque et à la limite du kitsch (on tutoie souvent le Michel Magne d’Angélique). L’ensemble, ciselé, déroule une histoire qu’on devine mouvementée, passionnée et tragique.
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Ambitieuse partition pour grand orchestre et chœurs, Franklin fait preuve de beaucoup d’élégance avec son thème principal « princier », décliné sous de multiples formes, dans la tonalité comme dans les couleurs instrumentales (jusqu’au sifflement). Un album riche (ha ha) et très satisfaisant.
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Cette princesse-là a de la classe, c’est sûr ! On retrouve ici un peu du souffle épique de L’Enfant des Loups, ce qui ne devrait déplaire à personne. Il y a plus de romance, ce qui ne me déplait pas à moi. Et comme toujours, c’est très bien écrit. Pour un bel ensemble symphonique et choral. Comme disent les ricains, Two Thumbs Up !
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