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Violon, violoncelle et piano sont les instruments mis en avant pour accompagner, avec délicatesse et à propos, la tueuse en série de Jean Teulé. L’atmosphère y est épurée, parfois belle et paisible, mais surtout profondément dépressive et mortifère. Un accompagnement réussi, mais il faut être dans l’humeur appropriée pour l’écouter.
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Un classicisme sans joie où se détachent les belles qualités expressives de l’alto soliste, instrument toujours trop peu souvent mis en valeur (cf. le Hamlet d’Ennio Morricone), et qui distille ici tout du long de la partition une mélancolie troublante, presque mortifère, telle un poison lent. Une réussite.
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Une partition pour piano violoncelle et soliste alto qui aurait pu m’ennuyer violemment, mais qui m’a enveloppé et passionné jusqu’au bout, notamment grâce au superbe talent de Lise Orivel. De magnifiques exemples d’arrangement, je valide !
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Sur un sujet très macabre (une empoisonneuse en série), la partition s’avère riche, où l’ensemble des cordes, de bois les chœurs et le piano, au travers d’une tendresse triste, déchirent le cœur et la conscience. Du beau travail. Certaines tournures m’ont étrangement rappelé le travail de certains compositeurs japonais.
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Matthieu Gonet (l’un des profs de la Star Ac’) et Sylvain Goldberg ont composé une musique simple mais de qualité où le piano et l’alto (joué par Lise Orivel) sont souvent mis à l’honneur. L’ensemble est parfois un peu austère, mais on prend tout de même un certain plaisir à écouter cette bande originale intéressante.
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