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L’œil vif et le poil brillant, la grande Rachel fait à nouveau souffler une brise légère sur une partition pleine d’entrain et d’innocence, qui privilégie l’émotion sans tomber dans la facilité. Les thèmes s’enchainent avec grâce, les orchestrations sont toujours aussi précises et soignées, et l’auditeur ne peut qu’apprécier avec le sourire aux lèvres.
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Des guitares, une discrète batterie, un piano et un petit ensemble de cordes et bois, il n’en faut pas plus à Rachel Portman pour trousser un énième petit score chaleureux, équilibré et élégant, évidemment sans grande prétention au bout du compte, mais assez charmant dans son genre.
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Une superbe composition de la toujours formidable Rachel Portman. Des envolées musicales toujours très classe, des passages prenants comme le morceau Fire, il y a de tout dans une partition de Portman. Pas de doutes, on l’écoute !
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Difficile de ne pas tomber sous le charme de ces toutous : tout y est doux, un americana animalier champêtre qui donne l’impression de se trouver à la maison au coin du feu. Les passages d’action aux percus à la mode bien trop convenues entachent un peu le tout. Pas renversant, mais suffisamment soigné pour séduire dès la première caresse.
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Portman fait une nouvelle fois équipe avec Lasse Hallström. La musique, tantôt enjouée et guillerette, tantôt mélancolique, portée par un thème qui se retient bien, sait se faire tragique quand il le faut. Elle utilise essentiellement un orchestre dominé par les cordes, un piano, une guitare acoustique et la sacro-sainte clarinette chère à la compositrice.
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