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Même si le thème principal, doux et nostalgique, transpire à chaque note de l’élégance habituelle de Barry, on constate rapidement qu’on a avant tout affaire ici à un pastiche, atteignant par la même occasion les limites de l’exercice au sein d’une présentation intégrale trop longue et répétitive pour donner envie d’y revenir régulièrement.
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Un thème principal typique de son auteur, une séquence dramatique particulièrement saisissante, mais surtout un tas de musiques d’époque diverses et variées que Barry maîtrise parfaitement, un travail dont on imagine facilement qu’il aurait pu le mener les yeux fermés. Remplie à ras bord, cette édition s’avère néanmoins assez indigeste.
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Cet album est la plus parfaite illustration du talent de Barry qui traitait ses instruments comme les personnages du film, tant les arrangements et orchestrations évoluent de façon palpable. Vous me direz, que c’est un peu comme ça normalement la musique de film. Et je vous dirais oui. M’enfin si c’était toujours comme ça, ça se saurait.
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J’ai plongé la tête la première avec beaucoup de bonheur dans cette partition rétro où les mélodies surannées entêtantes le disputent à une ironie musicale goûtue et à une énergie parfois absente d’autres partitions de l’auteur. Si les thèmes sont typiques de Barry, l’esprit communicatif ressemble parfois à celui d’Elmer Bernstein. Un bonheur !
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L’élégance de la partition de John Barry est toujours au rendez-vous. Le thème central, souvent léger, romantique et mélancolique, soutenu par la harpe, la flute traversière, le violon ou la guitare acoustique est entrecoupé de morceaux de musique dansante issus de la main du compositeur britannique. L’ensemble s’écoute avec plaisir.
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