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Ce nouveau projet n’ajoute à la filmographie du compositeur qu’un jalon de plus à une déjà bien trop longue liste de musiques de thriller tristement génériques. Il est plus que temps que le talentueux Isham retrouve d’autres horizons musicaux plus propices aux expérimentations dont, à une époque, il était friand, comme l’était son public.
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Malgré une petite touche personnelle bienvenue dans un thème principal assez réussi, que c’est triste, décidément, de voir un artiste aussi talentueux que Mark Isham en être une fois de plus réduit à singer aussi bêtement, et sans une once d’inspiration, les formules électro-percussives à la mode. C’en est presque déprimant…
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J’adore Mark Isham, mais il faut bien avouer que ses plus belles années sont loin derrière. Et ce n’est pas ces thrillers d’action composés comme dans les années 90 qui redoreront son blason… Sniff !
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Mise à part une surprenante variation au piano et aux cordes du thème principal, pas grand-chose à se mettre sous la dent : pulsations, nappes, petites notes au piano et grosses percus. De l’émotion dans la piste 10, qui semble un peu incongrue par rapport au reste. Il y a bien des motifs, mais si discrets qu’on les oublie d’une piste à l’autre.
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A peine mieux que son Mechanic Resurrection sorti en septembre, cet Accountant se contente d’allier de l’électro un peu moche à un orchestre où les cordes et les cuivres font le minimum syndical. On a connu Isham, ici en mode minimaliste, plus inspiré…
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