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Pour ce docu sur la création d’une exposition pour le Metropolitan Museum of Art de New York, Ian et Sofia Hultquist se sont attachés à retranscrire avec vivacité la fourmilière qui s’agite inlassablement pour ces préparatifs, faisant appel à une petite formation de cordes complétées d’un piano vivace, de quelques samples et d’une voix occasionnelle. Sympa.
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En étant malhonnête, je vous dirais que les deux Hultquist m’ont totalement ennuyé. Que leurs mélodies et ambiances pesantes ne sont qu’une resucée de tout ce qui se fait en scoring aujourd’hui. Mais pour être honnête, même si certaines pistes m’ont laissé froid (c’est le cas de le dire), j’ai tout de même écouté l’album avec plaisir.
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Cordes, piano, guitare, vocalises, électronique légèrement rétro, le ton de l’album est intimiste, concerné, introspectif, voire grave dans sa première partie. La seconde, plus lumineuse et énergique, semble illustrer une mise en pratique créative. Agréablement varié et soigné, le tout s’écoute avec plaisir, mais il manque une peu de mélodie.
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De ce documentaire sur la mode, les compositeurs Ian et Sofia Hultquist ont tiré une musique alerte construite à partir d’une banque de sons plutôt convaincante. La partition est dominée par les cordes samplées et des effets électro planants plutôt stylés et agréables à l’oreille.
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