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Un roman d’aventures enfantines dans la lignée de Jumanji et Balto qui offre l’avantage non négligeable de mettre une emphase particulière sur le swashbuckling, sans éviter cependant les écueils du mickey mousing et des nombreux emprunts au répertoire, tant classique qu’hornérien. Mais bon sang, que cette musique est vivante !  |
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Quand il n’était pas plus inspiré que ça, notamment d’un point de vue mélodique, Horner se complaisait d’autant plus outrageusement dans ses références classiques (du Prokofiev, du Tchaïkovski et du Dukas en veux-tu en voilà) et ses auto-citations. Forcément agréable à écouter, mais néanmoins très dispensable.  |
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C’est encore une fois en écoutant ce genre de score que l’on pense à l’énorme legs que laisse Horner derrière lui. Le langage musical du merveilleux qu’il maîtrisait si bien est ici bien représenté.  |
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Encore un sacré bout de partoche musicale à laquelle on a à faire : une sorte de Harry Potter avant l’heure, version Horner, qui distille une énergie effarante d’un bout à l’autre. Vraiment, on ne peut pas le ramener d’entre les morts ?  |
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Horner recycle beaucoup ici, Willow notamment. La révision du mixage est bienvenue : les orchestrations sont riches, dynamiques et colorées. C’est massif, emphatique… Mais la partition ne se distingue pas spécialement d’autres travaux plus populaires du compositeur. Difficile de m’enflammer, donc.  |