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Pemberton parvient à émuler le son, l’atmosphère et l’énergie juvénile des grandes partitions 60’s de Schifrin, Goldsmith, Morricone et consorts grâce à une instrumentation particulièrement soignée (clavecin, flûte, guitare, basse…). Un festival de couleurs pop qui privilégie avant tout le rythme et le fun d’une époque révolue. Sensationnel !  |
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Il faut un vrai talent pour jongler avec une foule de références en y insufflant une vraie dynamique : cette partition à la « coolitude » vintage assumée évoque donc tour à tour Lalo Schifrin, le Barry d’Ipcress Files et de The Quiller Memorandum, le Goldsmith de The Last Run ou les westerns de Morricone. Tout simplement addictif !  |
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De la musique de film qui fait son boulot, sans être exceptionnelle, mais charmante. On aurait pu en vouloir plus, mais le côté désuet voire kitsch colle tellement bien au sujet qu’on ne peut en vouloir à Daniel Pemberton. |
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Quand Pemberton, compositeur décidément étonnant et plein de ressources, se fait plaisir, on obtient un score à la cool, avec ce qu’il faut de classe et de peps pour sortir du marasme et retenir l’attention. |
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On plonge ici tout entier dans un hommage vibrant aux 60’s. Si au début, c’est plutôt entraînant et fun à suivre, ça devient malheureusement très vite lourdingue sur la durée. La citation, c’est bien, le talent, c’est mieux. |
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Passé la déception de l’absence d’une reprise du thème de la série, cette musique colorée invoque un univers d’espionnage (italien?) des plus jouissifs (chansons incluses). La version téléchargeable a 4 pistes en plus. |