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Tout ce qui ressortait positivement du précédent opus (et qui était loin de constituer la totalité de l’album) se retrouve plus ou moins à nouveau ici, la surprise en moins. Mais qu’y a-t-il de plus ? Pas grand-chose : de l’électro-action, des ostinati à la RCP et des plages atmosphériques d’un ennui mortel. Tout ça n’est guère suffisant…
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Cette fois, point de salut : si la première mise en musique présentait encore quelque intérêt, cette suite ne fait que suivre les chemins plus que balisés d’une action électro-orchestrale basique, sans âme, conforme en tous points à ce qu’on entend partout. On passe.
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A part certaines pistes atroces à écouter, pleines de bruit pour rien, certains aspects du score se laissent entendre avec plaisir et je ne m’y attendais absolument pas. Bon ça reste de la soupe RC, mais bien moins agaçante que d’habitude.
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Y avait des trucs sympas dans le premier épisode, on y sentait l’aventure poindre de ci de là… Mais ici, on retombe souvent dans les conventions à la mode et rien ou presque ne reste dans les mémoires. La petite surprise du début était un accident.
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Paesano semble tiraillé : d’un côté, un clone électrorchestral anonyme (ostinati de cordes, loops) pour l’ambiance. De l’autre, pour l’action, ça part dans du JNH des années 90, avec des orchestrations travaillées (jeu des cuivres, des flûtes et des bois), avec même des motifs mélodiques. Dommage que ce soit le premier aspect qui domine…
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