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Une expérience radicale : arranger pour orgue l’essentiel de la partition légendaire de Basil Poledouris. Une expérience courageuse, vouée à l’échec, bien sûr, mais qui ne manque pas d’intérêt. Cependant, il ne faut que quelques minutes d’écoute pour avoir envie de troquer l’atmosphère contemplative de cet album avec la splendeur épique de l’original.  |
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L’initiative est inattendue, l’exercice musical parfaitement mené. Reste que chaque morceau ne s’en tire pas avec le même bonheur. La transcription n’est-elle pas tout simplement trop littérale ? Néanmoins les plus curieux d’entre vous pourront y trouver une expérience tout à fait intéressante. |
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Plutôt bien foutue et intéressante sur certains morceaux, cette transcription pour orgue n’en reste pas moins indigeste lors d’une écoute complète. Les chœurs manquent quand même cruellement et les aigus de l’orgue arrachent un peu les oreilles. En tout cas, chapeau pour le boulot.  |
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Au début, on écoute par curiosité. Puis un gros doute s’installe au fil des minutes : la démarche est intéressante, mais l’ensemble manque d’énergie et de couleurs. Même si le monsieur a un bel « organ », celui – d’origine – est inégalable. |
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L’arrangement pour orgue de la musique de Poledouris est phénoménal et complètement inespéré. On prend même un malin plaisir à l’écouter. Après, l’intérêt de la chose, je ne sais pas…  |
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Surprenant, difficile à écouter d’une traite, le résultat est très intéressant, donnant à l’œuvre une couleur inédite. Certains passages dégagent une puissance qui donne des frissons. À quand la version ukulélé de Conan ? |