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Au-delà du bel hymne choral qui ouvre le film, Poledouris crée un implacable score de thriller jouant sur les résonances des percussions et des synthés pour nous faire naviguer, au sonar, au fond des eaux sombres et glacées de l’océan. Un vrai classique. |
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Depuis le temps qu’on attendait, comment ne pas jubiler aujourd’hui à l’écoute de cette musique si impeccablement construite qui, de l’hymne choral aux sursauts électroniques, tient le suspense en haleine tout du long. |
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Je me souvenais des fameux chœurs russes, mais ce que j’avais oublié, c’est le score très action eighties qui se cache derrière. Loin d’être générique, au contraire, c’est même à la limite de l’expérimental, mélangé avec tout le savoir faire épique de Basil. |
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Aux oubliettes, l’édition MCA anorexique ! Vêtu de ses plus beaux habits de parade, le score du roi Basil donne à admirer l’envergure, rien qu’entrevue jusqu’alors, de ses synthés glacials et de sa solennité slave. Kaboom! |
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Cette réédition bien que providentielle ne propose toutefois pas les prises originales. C’est le mixage final, effectué dans l’urgence, qui est présenté. Même si l’électro déséquilibre quelque peu l’ensemble, on a ici affaire à un chef d’œuvre ! |