 |
Le Donaggio des grandes années, celui qui osait tout (et n’importe quoi) avec un aplomb incroyable : magnifiques mélodies, cordes âpres et perçantes, bidouillages de synthés, voix enfantine à tendance celtico-destroy…  |
 |
Donnagio, un pied dans le sublime, un pied dans le ridicule, parfois l’inverse, et c’est ça qui est beau avec Pino, même quand c’est nul, des fois c’est bien. De belles bizarreries (la voix d’enfant éraillée) et un goût pour la mélodie jamais pris en défaut.  |
 |
Du grand Pino, du sauvage, de l’électronique qui vient agrémenter l’orchestre et non l’inverse. Encore !!!  |
 |
Du pur Donaggio, mais dans l’espace. Faut vraiment être un gros amateur du bis.  |
 |
Du pur Donaggio, dans la lignée de Piranha et de The Howling : de l’orchestral minimal mais efficace, romantique à en pleurer, mélangé avec du synthé hypnotisant. Parfait pour vos visites d’églises en Espagne.  |
 |
Donaggio convoque orchestre, voix d’enfants et synthétiseurs 80’s dans un mélange savamment équilibré. Dommage qu’il se soit laissé aller à des passages assez kitch, voire embarrassants, déjà à l’époque. Et le temps ne fait rien à l’affaire !  |