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Loin des délires gothiques qui ont fait son succès, un Elfman à fleur de peau qui tisse ici un délicat canevas orchestral celtique autour d’une flûte, d’un piano et d’un chœur féminin discret, et révèle une autre facette, très attachante, de sa personnalité.  |
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L’une de ces délicates alchimies sonores intimistes, ici entre orchestre, chœur et solistes (flûtes notamment) que le duo Elfman/Van Sant aime particulièrement. On attendait cette édition depuis longtemps : c’est désormais chose faite.  |
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Un album tellement bien produit qu’il m’a fait revoir mon opinion sur ce score d’Elfman que je trouvais jusqu’ici inintéressant au possible. Vraiment un bon achat tant pour les fans du film que pour ceux du redheaded devil.  |
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Que l’Elfman d’avant, disons jusqu’à Planet Of The Apes, me manque terriblement. On redécouvre avec joie tout ce qu’on aime chez lui, dans un mix improbable entre Black Beauty et A Simple Plan.  |
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Cruelle déception ! Alléché par la réputation plus que flatteuse de cet essai intimiste, votre serviteur n’a finalement eu à se mettre sous la dent qu’un petit score placide, à la joliesse avérée mais trop machinale pour toucher au cœur.  |
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Enfin une édition officielle archi-complète. Évoquant Dolores Claiborne et To Die For, Elfman a recourt à un tin whistle pour faire écho à Boston, fortement peuplée d’Irlandais, un chœur et un petit ensemble orchestral. Intime et superbe.  |