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Pop orchestrale 60’s élégante qui a fait date lors de la première partie de carrière de Barry. Pour être franc, on délaisse rapidement les pistes mono étouffées du film en rien idéales pour goûter l’excellence des arrangements par rapport à l’album d’époque tout à fait délicieux, lui. Ceux qui le possèdent peuvent donc s’en contenter.
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Restauration méticuleuse d’une B.O. de première importance dans la filmo de Barry. Comme souvent chez lui, le thème est un joyau mélodique et instrumental, limpide et riche à la fois, servi par des musiciens magistraux. Et répété à l’envie… encore… et encore… Allergique à l’orgue électrique ? Gare !
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Knack n’est pas qu’une saucisse, c’est aussi une excellente et jubilatoire musique jazzy signée par un John Barry en pleine forme. Si l’album de 1998, lardé de dialogues, m’avait déjà régalé, imaginez donc ma joie en découvrant la double ration proposée ici ! Une petite douceur qui va vous donner le sourire. Après l’alicament, voici donc la musicament.
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Swinging London ! Ce style, on l’a ou on ne l’a pas. Barry ne l’a pas appris, il coule dans ses veines : mélodies fortes (répétées en versions film et album), tempo cool, cuivres jazzy, orgue électrique, cordes veloutées piquetée de xylophone… De la B.O. bienfaisante, à écouter au volant d’une Mini ou d’une Type E, selon votre standing.
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Comme toujours chez Barry, le thème principal, entre jazz élégant et fulgurance lyrique, est splendide. Et pour une fois, les variations sont intéressantes, tant au niveau des orchestrations, des modulations rythmiques ou des ornementations d’écriture sixties, le tout avec la patte dansante du Barry de cette époque.
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Le Barry aussi est à la mode. Ce truc a soixante ans. Et c’est prodigieusement coooool ! Ça donne envie d’avoir le Knack, c’est sûr !
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