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La partition de Poledouris est un authentique petit plaisir, une musique de western tantôt idéalement percutante tantôt joliment intime, toujours savoureuse, grâce à des thématiques parfaitement imbriquées les unes aux autres et des orchestrations aérées et attachantes avec de belles mises en valeur de la clarinette soliste.
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N’ayant pas les deux CD précédents, je me suis rué sur celui-ci. J’adore le film et la musique de Poledouris participe pleinement à mon plaisir. Et ce thème ! Mâtin, mais quel thème ! Un solide score de western où pointe une certaine dérision, à l’image du héros. Loin d’être aux antipodes, la musique entretient une belle filiation avec Lonesome Dove.
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Pour ce western « d’en bas », Basil s’éloigne de Lonesome Dove en composant un thème débonnaire adapté à la chaleur ambiante et à la grande carcasse de Tom Selleck. Et c’est cool, jusque dans les moments d’action, posés, un peu à la Barry. Défendu par Intrada à leurs débuts, ce score trouve ici sa meilleure incarnation.
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On se demande souvent si une édition augmentée d’un score va rendre l’édition originale, par définition plus courte, obsolète ou plus essentielle (car moins diluée). Dans le cas de ce Quigley, inutile de se poser cette question. Cette version, tant au niveau qualité sonore que qualité de la partition, enterre les précédentes. King Basil. Un point, c’est tout.
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Ô la merveille ! J’adore ce score, l’un des meilleurs du regretté Basil Poledouris, et une partition de western magnifique pour un chouette film méconnu qui se passe en Australie. Le thème, juste à tomber, n’arrive pas à me sortir de la tête. Un petit chef d’œuvre.
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