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Une émotion toute en retenue, parfois teintée de mélancolie, mais la plupart du temps, cette émotion donne naissance, avec une étonnante vitalité, à une certaine forme de joie de vivre, avec une évidence et une simplicité qui conviennent parfaitement au sujet. Pas d’alcool ici, juste un grand verre de jus multivitaminé !
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S’il subsiste bien quelques phrases suspendues lourdes de sens, il est toujours étonnant d’entendre autant de vie pour un sujet aussi dramatiquement triste. Mais comme souvent un peu de tact ne peut nuire et le contrepoint, ici pour cordes et plusieurs pianos, s’avère subtilement fructueux et émouvant. Bravo.
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Travail léger pour sujet très lourd – même si les moyens sont bien dans l’air du temps, boucles musicales, rythmique souvent marquée – il y une vraie richesse mélodique, qui traduit une envie de raconter, particulièrement émouvante dans ce contexte, et transmettant une émotion sincère et réelle.
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Vu le thème du film (la maltraitance), je m’attendais à ce genre de score, à la fois sobre et sensible. Si le compositeur frappe les touches de son piano durant presque tout le score, il est évident que frapper des enfants/des adultes/des animaux, c’est mal. C’est pourtant moins déprimant que je le pensais, avec une belle mélodie. Hélas, ce n’est pas mon kif.
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Avec ses thèmes au piano et à la harpe, soutenus par quelques harmonies de cordes très légères, ce score à la Thomas Newman a beaucoup de charme. Ce que j’aime chez ce compositeur, c’est son apparente simplicité mélodique qui cache souvent des trésors d’émotion, et c’est bien le cas ici. Cyrille, trop fort !
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