Abominable (Rupert Gregson-Williams)

UnderScorama • Publié le 15/10/2019 par

AbominableABOMINABLE (2019)
Compositeur : Rupert Gregson-Williams
Éditeur : Back Lot Music
Format : CD & Digital
Date de sortie : 01/11/2019

3 out of 5 stars
Florent Groult La musique jouant un rôle certain dans l’intrigue, on aurait pu espérer un peu d’allant et de fraîcheur, quelque chose dans l’esprit du Kubo de Dario Marianelli par exemple. Mais malgré quelques aspects recherchés (le son guttural pour le yéti, quelques saxophones) la démarche reste tiède, convenue, sans réel style, vite oubliée une fois encore.
2.5 out of 5 stars
Pierre Braillon Extrêmement professionnel, soigné, plein d’allant, pétillant, émouvant (il y a des solo de violon !) : il n’y a rien à reprocher à cet Abominable charmant, totalement impersonnel, qui s’inscrit dans la tradition de ce qui se compose pour l’animation numérique depuis quinze ans. On pense à Newman, Powell, Burwell… dans le genre, c’est le haut du panier.
3.5 out of 5 stars
Franck Le Roux Zappons rapidement les chansons qui sont… abominables, contrairement à la musique. « OK, l’autre quiche va encore s’extasier sur une zique de dessin animé ! » pensez-vous. Oui et alors ? J’adore ça. RGW connaît son affaire, ayant déjà œuvré à plusieurs reprises dans le genre. Ici, pas de sound design dégueulasso-expérimental, rien que du bon !

5 out of 5 stars

Christophe Maniez Rupert est souvent, injustement sans doute, comparé à Harry. Et malheureusement, ce n’est pas souvent à son avantage. Mais, ici, pour une fois, j’ai été séduit. Oh, non que ça révolutionne quoi que ce soit, loin de là. Mais il y a une vraie tendresse dans l’écriture orchestrale. Et le thème est sympa.
3.5 out of 5 stars
Christophe Olivo Ça vient peut-être de moi, mais pour ce type de film d’animation, j’ai l’impression d’entendre toujours la même chose. Pas de quoi faire un jeu de mot foireux avec le titre, mais pas de quoi se relever la nuit non plus.
2 out of 5 stars
Elendil Un énième score pour un énième film d’animation. Alors bon, Rupert n’est pas mauvais et l’écoute est fluide. Mais rien ne m’accroche vraiment l’oreille… Anecdotique donc. John Powell reste indétrônable en la matière.
2.5 out of 5 stars