Blade Runner 2049 (Hans Zimmer & Benjamin Wallfisch)

UnderScorama • Publié le 15/11/2017 par

Blade Runner 2049BLADE RUNNER 2049 (2017)
Compositeurs : Hans Zimmer & Benjamin Wallfisch
Éditeur : Epic Records
Format : 2CD & Digital
Date de sortie : 20/10/2017

1.5 out of 5 stars
Olivier Desbrosses Cher Hans, tu devrais laisser ton petit camarade tranquille : il fait du bien meilleur travail quand tu n’es pas là ! Franchement, tu n’avais pas besoin de lui pour tenter en vain d’émuler / piller Vangelis sans jamais vraiment arriver à quoi que ce soit, si ce n’est à faire mourir d’ennui ton auditoire. Dis-moi, entre nous : c’est toi qui as fait virer Jóhannsson ?
1 out of 5 stars
Florent Groult D’emblée, les zimmériens convaincus ont argué que leur idole, en tournée, n’avait pas eu le temps matériel de s’occuper réellement du projet, manière de laisser à Wallfisch l’entière responsabilité du naufrage artistique. C’est dire à quel point le résultat, entre intrusions sonores à peine supportables et Vangelis singé (pour rester poli) est vraiment honteux.
1 out of 5 stars
Pierre Braillon Même sans à priori négatif, et en reconnaissant que l’univers musical de Zimmer semblait approprié à un prolongement de Blade Runner, difficile d’entendre autre chose dans ce score qu’un remplissage musical très épais, dont les quelques envolées prenantes sont directement dérivées de la fabuleuse création de Vangelis.
2.5 out of 5 stars
Sébastien Faelens Vangelis a marqué son temps, mais ce Blade Runner là ne marquera même pas la discographie de Zimmer qui, avec et ce yes-man surdoué de Wallfisch, s’escrime à
« actualiser » le son du Grec en le RCP-isant. J’aime le gros son, mais j’aime aussi quand il y a de la subtilité et de l’émotion. Autant dire que je suis déçu.
2 out of 5 stars
Milio Latimier Zimmer et Wallfisch dessinent un décor atmosphérique synthétique imposant. Dans ses meilleurs moments, il happe l’auditeur dans un tunnel musical hypnotique. Les reprises de Vangelis semblent trop littérales et l’action s’approche du désagréable, gras et froid à la fois. Ni vraiment captivant, ni révoltant… Survolé ?
2.5 out of 5 stars
Christophe Maniez Alors, quelques allusions sonores au score de Vangelis peuvent-elles faire le job en écoute isolée ? Clairement, non. C’est une partition atmosphérique très faible, avec les infrabasses chères à Zimmer. J’étais enclin à penser que Wallfisch allait apporter un petit truc, et même pas. Long et vide.
1 out of 5 stars