Volcano (Alan Silvestri)

UnderScorama • Publié le 15/07/2016 par

VolcanoVOLCANO (1997)
Compositeur : Alan Silvestri
Éditeur : Varèse Sarabande
Format : CD
Date de sortie : 30/05/2016

4.5 out of 5 stars
Olivier Desbrosses Une musique de film catastrophe qui, avec le recul, reflète une conception surdramatisée du genre tristement mise au placard depuis : menace rampante, puissantes montées de suspense, marche virile à la thématique affirmée et traits héroïques intenses et salvateurs. Bref, un Silvestri musclé aussi premier degré que particulièrement appréciable.
4 out of 5 stars
Florent Groult La parenté stylistique avec Judge Dredd ou même Predator est évidente. Mais le vrai intérêt de cette nouvelle présentation est, en plus de faire resurgir des développements restés inédits au disque, de réinscrire le pitoyable album d’origine dans une vraie dramaturgie de récit catastrophe, et cela a tout de suite une autre gueule.
4 out of 5 stars
Baptiste Brylak Un thème qui monte qui monte, de la légèreté, des cuivres… Pas de doute, on est chez Silvestri. Et s’il ne s’agit pas de Judge Dredd, il faut sacrément ne pas aimer le compositeur pour bouder son plaisir à l’écoute de ce Volcano qui ne demande qu’à exploser dans vos oreilles.
4.5 out of 5 stars
Olivier Galliano Est-ce qu’il fallait ressortir Volcano en expanded ? Clairement non. Est-ce qu’on est content que Varèse l’ait tout de même fait ? Oui. Parce que c’est du Silvestri bourrin et fun. Et j’avoue que j’ai un petit faible pour toute cette subtilité mise au service d’un volcan qui s’est levé du mauvais pied.
3.5 out of 5 stars
Milio Latimier En pleine période où Silvestri, empli d’assurance, enchaînait les scores emphatiques à la thématique musclée. On est ici entre Blown Away et Eraser, entre mystère, menace grondante et héroïsme franc du collier. Cette édition présente une trame narrative linéaire et une remasterisation exemplaire qui envoie l’ancien album aux oubliettes.
4.5 out of 5 stars
Stéphanie Personne On se régale avec la version (enfin !) complète du score de Silvestri, qui délivre comme à son habitude une partition boostée à la testostérone. Tellement qu’on se dit avec un sourire crétin qu’un volcan qui s’énerve, c’est coooool !
5 out of 5 stars