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Silvestri continue de faire de son mieux pour les pièces symphoniques, mais semble terriblement étriqué dès qu’il s’agit d’aborder les passages purement électroniques. Il est fort probable que les deux volumes à venir nous démontrent encore plus la limite de l’exercice. |
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Bonne nouvelle pour les fans de la série et/ou du compositeur : si la musique de Silvestri a toujours autant de mal à se frayer un chemin à l’image, elle est par contre mise largement à notre disposition. Le troisième volume suit. |
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Superbe dans ses évocations symphoniques, Silvestri semble un peu dépassé lors de passages strictement électroniques assez forcés et laborieux. Mais réjouissons-nous : quatre volumes pour un score… Qui bénéficie de tels égards aujourd’hui ? |
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Pour ceux qui en doutaient encore, ce volume 2 nous prouve une fois de plus que Silvestri est toujours là. On retrouve la patte du maître, même si, oui, il y a des défauts. Mais pour deux morceaux pas terribles, une petite merveille : moi, ça me va. |
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Je suis en train de me demander ce que je vais bien pouvoir vous raconter sur ce deuxième disque. Franchement, c’est la même chose que celui du mois dernier. Et dire qu’ils en sortent encore deux volumes bientôt. Je vais être dans la merde. |
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Bis repetita pour Silvestri, qui se garde bien de fournir autre chose que le minimum syndical dont on lui avait déjà passé commande sur l’opus précédent. Cela dit, c’est toujours moins casse-bonbons à écouter que Gravity. |
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Silvestri continue d’explorer l’Univers et nous avec lui. Alors certes, ce n’est pas du niveau de Contact ou de son écriture des années 80-90, mais c’est quand même ce qui s’en rapproche le plus. Hélas, ce n’est toujours pas sur CD. |