À l’opposé du Horner classique, un drôle de score qui combine des nappes de synthés et des bidouillages électroniques avec une flûte de pan digne d’un spot de pub pour agence de voyages péruvienne. Strictement réservé aux fans hardcore.
Loin de la veine orchestrale opulente qui faisait déjà ses plus beaux succès, Horner s’adonnait parfois à ces ambiances dépouillées, mal aimées depuis toujours et pourtant assez intrigantes. Une curiosité.
C’est rigolo et mignon Vibes, non ? Ben, c’est déjà moins moche que Runaway ! Et puis il y a du pipeau.
Si vous cherchez un album pour vos séances de transes où vous suivez un loup fantôme à travers la montagne, il est fort probable que ce Vibes soit fait pour vous. A des années lumières de Krull, un gros délire (instru)mental plutôt sympa.
Un amoncellement de flûtes sud-américaines assez cliché et de synthés primaires qui font de la peine à entendre. L’auditeur peine à saisir en quoi le contenu pouvait justifier le prix du contenant pendant les années où il était introuvable.