One Battle After Another (Jonny Greenwood)

UnderScorama • Publié le 15/10/2025 par

ONE BATTLE AFTER ANOTHER (2025)
Compositeur : Jonny Greenwood
Éditeur : Nonesuch Records
Format : CD, LP & Digital
Date de sortie : 14/09/2025

2.5 out of 5 stars
Florent Groult Condensé dans cet album, l’apport de Greenwood au film se veut avisé mais n’est en réalité qu’une coquille vide, un galimatias musical qui, en tentant vainement de lier les scènes dans une même anxiogénéité instable et agitée, se perd en considérations et effets contemporains irritants dont l’impact et le profit sont discutables.
1.5 out of 5 stars
Milio Latimier J’ai eu par instants l’impression d’écouter une musique d’un post-apo des années 70. Les arrangements triturés, l’écriture en zig-zag, les timbres aux contrastes forts nourrissent des images de monde dépeuplé, déroutant, dans lequel on erre entre folie et espoir. Un périple éprouvant mais si gratifiant !
4 out of 5 stars
Franck Le Roux Malgré de réels efforts, le compositeur échoue à rendre sa musique totalement chiante. En effet, on croise hélas quelques morceaux non dénués d’intérêt. Mais que l’on se rassure, Greenwood a vraiment réussi à dilater le temps, réussissant à rendre l’écoute bien plus longue et pénible que la durée réelle des morceaux. Beau tour de force.
1.5 out of 5 stars
David Lezeau Musique suspensive, mais pas que. Modernité, écologie (bah oui, green wood) : le grand-tout culturel aime, moi aussi. Jonny taille ses allumettes dans un bois de piano ou de guitare, met le feu avec peu si ce n’est le talent (Ocean Waves). Là émouvant, ici aride, perso, original ma non troppo : ça change des B.O. trop pro.

4 out of 5 stars
Christophe Maniez Le genre de score-concept (apparemment tout tourne autour d’un sol majeur) qui fait sans doute le job dans le film, mais que personnellement je trouve vite rébarbatif. Le minimalisme de l’écriture et des orchestrations n’aide pas. Ennui. S’il gagne un Oscar pour ça, je resterai définitivement dans ma caverne.
1.5 out of 5 stars
Christophe Olivo Paul Thomas Anderson embarque logiquement dans son trip antifa son alter-ego musical Jonny Greenwood. Un score déstructuré, tortueux, parfois très difficile d’approche. Même les passages plus calmes à la guitare laissent poindre une certaine urgence. A écouter avec les images.
2.5 out of 5 stars

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