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Conclusion conforme à ce qu’on pouvait attendre dans un style orchestral plutôt opulent voire glamour mais toujours élégant et séduisant, la présence du personnage (réel) de Noël Coward permettant de plus l’intégration classieuse de quelques-unes de ses chansons typiques du music-hall britannique.
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Toujours aussi impeccable, le travail de Lunn nous entraîne sans difficulté dans ce récit, où piano, cordes et vents sont les vedettes. Sous son apparence corsetée et bourgeoise, la musique est toujours expressive dans ses émotions, naturelle dans son déroulement. Un vrai plaisir.
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Cette B.O. clôt (vraiment ?) de belle manière cette superbe saga musicale. Lunn ne nous promet pas la lune, il nous l’offre sur un plateau d’argent ! Une musique racée et somptueuse qui s’avère être une sorte de retour aux sources, étant finalement peut-être plus proche de celle de la série que des films précédents. Assurément un grand final !
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Pleine Lunn sur les années 30. Grandes familles et vieilles pierres jouissent d’un grand finale lunn-mineux, british sans être corseté, qui ne surprendra pas les habitués des lieux. Hyper classique par nature, mélancolique mais essentiellement joyeux, ça vous entoure d’un coton bienvenu au tea time. Avec un scone, c’est OK pour moi.
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Le travail de John Lunn sur cette série, entre élégance british et drame de la haute société, est remarquable de qualité et de constance. L’ampleur dramatique et lyrique est plus marquée pour ce Grand Final où les cordes dominent toujours autant leur sujet. Passionnant.
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Et puisqu’il faut bien conclure, John Lunn est évidemment de la fête. Nostalgique, romantique, britannique, flegmatique, la musique se déguste comme un bonbon anglais. Belle conclusion.
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